Archive for August, 2013
August 30, 2013 · category [performance]
DIFFUSIONS
— 12 septembre 2009 — Centre Octubre [Valencia – Espagne]
— 24 juillet 2009 — Convention pure data SESC-Paulista [Sao Paulo – Brésil]
— mars 2009 — Centre Gantner/Bourogne [ Festival Fabrika Voxa] .
— 2-8 mars 2009 — Résidence aux Pixels Transversaux [La Générale en Manufacture]/Sèvres
— février 2009 — Rencontres Boulevard Sainte Beuve, Boulogne-sur-Mer.
— 22 Octobre — Festival Transe Atlantique, Pau.
— 11 avril — Soirée Le clou dans le fer Paris (Couvent des Ricolets)
— 9 avril 2008 — Festival Les empreintes numériques
— 12 mars 2008 — Festival Le son de plateau — Montevideo Marseille
— février 2008 — Soirée du Cyrnos Palace — Résidence DOC(K)S — Ajaccio
— 8 février 2008 — Festival Roaratorio — Genève (Suisse).
#13 – HP PROCESS @ VISIONSONIC (8 Mars 2009) from PIXELS Transversaux on Vimeo.
Dans la continuité du [bod-code project] de hp-process , [kleine Maschine] est une performance vidéo-poétique interactive sur la mécanique du langage ; c’est un poème numérique et performatif sur la machine comme langage et outil d’une nouvelle forme d’expressivité et de corporéité, qui interroge la fascination moderniste vis-à-vis de la technologie, du Futurisme à Matrix …
[kleine Maschine] questionne le rapport entre corps réel/corps immatériel selon une forme d’accidentalité lié à l’écart entre la présence et la représentation, et explore la réalité augmentée afin de mettre en jeu les interactions possibles entre dimension physique et dimension numérique.
[bod-code project] et [kleine Maschine] peuvent être réalisées ensemble et former un diptyque d’une trentaine de minute.
[kleine Maschine] est une performance modulaire, qui ne cesse de se recomposer selon les agencements opérés entre les différentes séquences.
Download file about the performance :
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English => 
August 30, 2013 · category [installation]

DIFFUSION phautomaton.com
décembre 2016 — semaine de l’innovation ETM-Evry — commissaire Le Cube. 2 cabines. novembre 2016 – Festival accès)s(#16 — 6 cabines (Pau, Le Parvis à Tarbes, Espace Mendes-France (Poitiers), l’EESI (Poitiers).
avril 2016 – Satellite IV – Paris – 1 cabine.
avril 2016 – La palabra en las periferias technologica – Madrid – 1 cabine.
mars 2016 – Festival Appel d’aiR – Arras – 2 cabines.
mars 2016 – Printemps des poètes St Quentin en Yvelines – 8 bâches reprenant les visages créés en décembre 2015.
Décembre 2015 – Médiathèque d’Angoulême – achat d’une cabine de phAUTOmaton (1/15).
Décembre 2015 – Transnumériques (dans le cadre de Mons Capitale Européenne de la Culture). 3 cabines installées).
Novembre-Décembre 2015 – Maison de la poésie de St Quentin en Yvelines (8 cabines installées).
Novembre 2015 – Lycée Jean Monnet (Cognac) – 1 cabine installée.
Octobre-Novembre 2015 – Lomme – Quinzaine des arts du futur. En partenariat avec Transcultures. 3 cabines : Maison Folie Beaulieu, Médiathèque, Mairie.
Octobre 2015 – Nantes – MidiMinuit Poésie #15. 2 cabines installées : une première au Lieu Unique, une seconde aux Galeries Lafayettes.
avril 2014-juin 2014 dans le cadre de la Nuit Européenne des musées : exposition du phautomaton avec liaison réseaux dans 10 villes (France : Poitiers, Orléans, Paris; Russie : Saratov, Irkoutsk, Vladivostok, Rybinsk, Samara, Rostov-sur-le-don, Nijni Novgorod. Avec le soutien de l’Institut Français de Russie, des Alliances Françaises de Russie, de L’ESpace Mendes France (Poitiers), de la Société des Gens de Lettres, et de Labomédia.phautomaton.com
juin 2013 — Sortie d’une planche de phAUTOmaton dans la revue Celebrity cafe n°1 : la série est constituée d’autoportrait de solitude.
mars 2013 – Exposé un soir à la SAT (Montréal – Canada) lors de la soirée Sortir de l’écran de l’agence TOPO.
février 2013 – Exposé un mois à l’Institut Français de Tokyo (Japon), pour le festival Digital Choc.
janvier 2013 – Un soir au Cube (Issy-Les-Moulineaux), pour les voeux de l’internet 2013.

phAUTOmaton est une oeuvre, qui cherche, à partir du visage des participants créés parleur propre mot, de constituer de nouvelles configurations de communauté, de nouvaux liens inter-humaines, qui s’échappent des logiques économiques, sociales ou culturelles.
Le site qui accueille ces participations se transforme en un nouveau format de réseau social, fondé sur l’expression singulière d’un visage et d’une phrase. Plus aucune restriction ou catégorie ne permet de discriminer, d’exclure les visages.
La photographie est prise en deux formats. Un premier format, léger (jpg), sert à alimenter le site dédié à l’événement, un deuxième, beaucoup plus lourd (tiff) permet de conserver en très haute qualité (12 millions de pixel), la photographie, pour un tirage sur papier ou sur bâche ultérieur.Les communautés invisibles /Le phAUTOmaton va constituer une communauté de visages en-deçà de cette division, et de ses exclusions. En effet, du fait que l’œuvre ouvre à une carte où la communauté dans son ensemble peut apparaître sans distinction et sans exclusion, il apparaît qu’avec ces visages de la pensée, une autre mobilité, une autre adresse pourra être inventée entre les habitants.
Avec la carte des visages de la pensée, toute personne pourra via l’application qui sera médiatisée et ouverte, découvrir ces autres visages, cette autre humanité s’adressant directement ou indirectement à elle. Il s’agit de redonner une mobilité du sens de la communauté urbaine en se plaçant au niveau de l’humanité elle-même et non pas selon des catégories de différenciation. phAUTOmaton interroge par son mode de fonctionnement les liaisons entre des individus au sein d’un territoire, d’interroger les liaisons possibles au niveau du territoire entre les différentes populations.
En effet la carte d’une ville ne rend jamais visible les flux de population, les porosités. Plus que cela un territoire urbain peut être marqué par des frontières invisibles, que certaines catégories d’habitant ne traversent pas. Ainsi, apparaîtra une communauté de visages qui souvent ne sont pas reliés entre eux sans forcément se croiser. phAUTOmaton permet alors de recréer une communauté.


phautomaton de la série Russie.

phautomaton de la série Japon.
August 30, 2013 · category théâtre
Création de l’ensemble multimédia et de l’interaction et des modules participatifs auxquels avaient accès les acteurs/permormers sur scène. L’ensemble a été programmé avec pure-data.
Théâtre les Tanneurs 75 rue des tanneurs .bruxelles / 15 au 19.03.2011
auborddugouffre création D’après le roman Au bord du gouffre de David Wojnarowicz lucille calmel / when i’m good i’m very good but when i’m bad i’m better
Mise en scène, adaptation textuelle : Lucille Calmel
Avec : Sébastien Lenthéric, Mathias Varenne
Scénographie performative : Gaëtan Rusquet
Artiste-programmeur : Philippe Boisnard
Créateur sonore : Jean-François Blanquet
Assistante scénographie/plateau : Octavie Piéron
Conseil artistique : Mathias Beyler
Conseil en interactivité : Thierry Coduys
Assistante dramaturgie : Judith Ribardière
Traduction : Laurence Viallet aux Editions Désordres – Le Serpent à plumes
Graphisme : Axelle Carruzzo
Photo : Sébastien Devaux
Production et diffusion : Sylvia Botella
Une création de when i’m good i’m very good but when i’m bad i’m better en coproduction avec le Théâtre Les Tanneurs.
Production France : U-StructureNouvelle (Fr)
Avec l’aide à la création du Conseil de l’Aide aux Projets Théâtraux / Service général des Arts de la scène et à la production de la Commission des arts numériques, Ministère de la Communauté française de Belgique.
Avec le soutien de l’Agence Wallonie-Bruxelles Théâtre/Danse, La Bellone, Maison du Spectacle dans le cadre du Cycle des Monstrations, manège.mons/CECN, Centre des Arts Scéniques, Centre National des Écritures du Spectacle – La Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, Montévidéo – créations contemporaines, théâtre, musique, écriture et Smartbe.
Bourse résidence d’auteur 2010 – Communauté française – service de promotion des Lettres avec l’aide de WBT/D.
Lauréate du programme « CulturesFrance Hors les Murs » 2010 aux Etats-Unis.
Avec l’aimable collaboration de Cindy Carr, Sylvere Lotringer, Tom Rauffenbart, Marion Scemama, Laurence Viallet, la Fales Library et PPOW Gallery à New York.
August 29, 2013 · category Uncategorized
Lucille Calmel from Casino Luxembourg on Vimeo.
Sic[K] est une installation interactive [IRL/WEB] de Lucille Calmel et Philippe Boisnard, une dérive des systèmes de mises en quarantaine. [SITE WEB]
[+] Chaque visiteur est invité à passer un test de chaleur. Il doit s’asseoir devant un écran et une webcam qui le filme en noir&blanc. Après avoir entré son nom, il doit presser le capteur entre son index et son pouce. Le capteur analyse le degré de chaleur du corps. Si la température du visiteur atteint un minimum de 37.5°, alors se déclenche un flash lumineux et est prise une photographie du visage retraitée par un bot qui indique le type de maladie possible du visiteur et qui neutralise toute forme affective de son visage en le traitant numériquement à partir des couleurs noir&jaune utilisées dans le drapeau de quarantaine.
[+] Cette photographie est envoyée immédiatement sur le web sur le site sic-k.fr, où elle est mise en quarantaine numérique. Le visiteur n’a pas accès à l’information de sa propre maladie, il est dépossédé de ce portrait épidémiologique de lui-même, alors que la photographie est accessible immédiatement en ligne.
[+] En parallèle, une deuxième photographie est créée et envoyée à Lucille Calmel qui la retraitera pendant 4 mois, selon ses desiderata et modulations graphiques et/ou littéraires.
[+] Sic[K] est présentée dans le cadre de l’exposition Second Lives : Jeux de masques et autres Je, au Casino du Luxembourg / Forum d’art contemporain, à l’occasion du Mois européen de la photographie du 14 mai au 11 septembre 2011.
[+] Assistance à la scénographie : Octavie Piéron.
[Presentation]
Sic[K] is an interactive installation [IRL/WEB] by Lucille Calmel and Philippe Boisnard, a drift of quarantine systems.
[+] Each visitor is invited to take a body temperature test. He/she has to sit in front of a screen and a webcam that shoots him/her in black & white. After having typed his/her name, he/she has to press the sensor between his/her fingers. The sensor analyzes the body heat. If the visitor reaches a minimum temperature of 37.5°, then a bright flash is fired and a picture of him/her is taken. This photography is retreated by a bot that indicates a possible type of disease. All forms of facial emotions are neutralized through a digital treatment including black & yellow colors used into the quarantine flag.
[+] This picture is immediately sent to the website sic-k.fr, where it is digital quarantined. The visitor does not have access to the information of his/her own illness, he/she is deprived of this epidemiological portrait of him/her/self, while the picture is immediately accessible on line.
[+] In parallel, a second picture is created and sent to Lucille Calmel who will transform it during 4 months, according to her wishes and graphics and/or writing’s modules.
[+] Sic[K] is presented as part of the exhibition « Second Lives: Jeux de masques et autres Je » at the Casino Luxembourg / Forum d’art contemporain, during the 2011 European Month of photography from May the 14th to September the 11th.
[+] Design Assistance : Octavie Piéron.
August 29, 2013 · category Uncategorized
EPT from philippe boisnard on Vimeo.
DIFFUSION
_ RAVY – Rencontres des Arts Visuels – Yaoundé (Cameroun) _ EPT- live movie – 2010
_ FONLAD 09, digital arts festival – Coimbra (Portugal) _ EPT – live movie – 2010
_ 2ANNAS, videoart festival – Riga (Lettonie) _ EPT – live movie (video version) – 2010
_ Cologne OFF VI, Cologne International videoart festival (Allemagne) _ EPT-live movie – 2010
_ SIMULTAN 10 – Timisoara (Romania) _ EPT- live movie – 2010
_ Multimedia art festival – Memory and Futurism – Alexandrie/Le Caire – (Egypt) – 2010
_ ISCL (Symposium Interactivity in Free Computational Systems) – University of Salvador de Bahia – Brazil – juillet 2009
_Festival Le Marathon des mots – Centre Bellegarde – Toulouse __ performance Ept [v.1] – juin 2009
_ Rencontres poétroniques des Instants Vidéos – La Cartonnerie – Marseille (France) – 2009
EPT est une performance de poésie action numérique qui trace un parcours depuis la naissance de l’écriture et des signes jusqu’au langage informatique, pour arriver à une abstraction explosive et futuriste du langage et des formes. Elle explore les dimensions ésotériques et spirituelles du langage en liaison avec la question du code et de la sémiotique numérique pour construire un poème visuel et sonore immersif et interactif où le son et l’image sont générés en temps réel.
Ept est une expérience poétique qui met en jeu le corps dans un espace textuel et sonore, le corps, animant un univers 3D généré en temps réel, est aussi bien un motif scriptural qu’un instrument d’écriture. Le geste devient l’énergie du signe, et c’est dans ce déploiement énergétique que l’écriture peut explorer de nouvelles voies/x et interroger les relations invisibles entre le langage et la machine.
Le travail video et sonore est réalisé à partir d’une programmation PureData/GEM et openGL. L’interactivité est créée par une reconnaissance de mouvements, ou par l’intensité et les fréquences de la voix. Avec ces outils informatiques, l’écriture peut alors se déployer dans de multiples dimensions, selon une densité hallucinatoire à la fois du visuel (jeu sur les typographies, sur les textures, les vitesses) et du sonore (travail multicouches liée à la voix et à des drones programmés).
La création numérique est pensée non pas selon une mimétique des instruments de contrôle, mais elle devient le prisme pour une intensification esthético-poétique de la parole et du corps.
La technologie serait donc un moyen d’apparition __ ou le lieu de déploiement __ d’une magie des signes et du langage, dans laquelle pourrait fusionner les dimensions élémentales du réel.
EPT is a performance of digital poetry action which proposes a course from the birth of writing and signs up computer language, to end up at an explosive and futuristic abstraction of language and form. It explores the esoteric and spiritual dimensions of language on the issue of code and digital semiotic to build an immersive an interactive sound poem where sound and images are generated in real time.
EPT is a poetic experience that involves the body in a textual and sound environment, the body, wich animates a 3D universe generated in real time, is both a scriptural pattern than writing instrument. The gesture becomes the energy of sign, and in this energy deployment, writing can explore new ways and question the invisible relationships between language and machine.
The video and sound work is realized thanks to a PD / GEM and openGL programming. Interactivity is created by a motion capture, or by the intensity and frequency of the voice. With these digital tools, writing can be deployed in multiple dimensions, with a density of hallucinatory both visual (the game fonts, textures, speeds) and auditory (work related to multi-voice and aerial drones programmed).
The digital design is conceived not as a mimetic of control devices, but it becomes the prism for an aesthetic and poetic intensification of word and body.
The technology as a means of appearance (or a place of deployment) of a magic of signs and language, in which could merge the elemental dimensions of reality …
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Download file about the performance :
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August 28, 2013 · category Uncategorized
Création réalisée dans le cadre du festival international de performance Infr’action à Sète — septembre 2011

A l’heure de la surveillance de tout flux, de tout individu, selon des moyens technologiques, ZDC propose une forme de transposition de cette logique au niveau d’une performance de poésie action numérique.
Il s’agit de capter l’image d’acheteurs sur un marché de Sète, et de traduire cette image en la présentant sur un site, où elle devient un produit.
L’acheteur devient immédiatement un produit dans une logique de récupération.
Simultanément à cette déportation, un portrait poétique est créé aléatoirement sur le web. Ce portrait est la description personnelle de la personne.
Cette performance est totalement réalisée en temps réel, elle est programmée avec pure-data et des scripts bash.
1/ Capture photographique.
2/ Retraitement automatisé dans un patche pure-data + composition d’un portrait poétique de la personne captée.
3/ propulsion ftp de l’image + élaboration du texte en html.
4/ regénération de la page html pour inclure dans une nouvelle cellule du tableau la nouvelle image + le texte descriptif.
5/ À chaque nouvelle photographie, l’ensemble des données publiées sont de nouveau régénérées. Ce qui amène une forme d’instabilité constante de chaque produit du site.
Les portraits poétiques sont générés aléatoirement. A chaque nouvelle photographie générée, tous les portraits sont de nouveau écrits. Le principe est celui en quelque sorte de l’aléatoire ds requêtes sur moteur de recherche. L’instabilité définitionnelle est propre à la fluctuation immanente des formes de taxinomie sur internet. Cela amène qu’un prototype est infiniment mutable.corrélativement, la valeur des portraits est fluctuante. Leur prix de vente est dans un flux permanent de redéfinition. Ce qui avait une valeur, peut la perdre.
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